Clémence « L’Aristocrate » La Fin De Soirée Avec Le Fils Du Consul Du Maroc. Mais Pas Que ! (Partie 2)

J’étais très heureuse, je venais de me venger de toutes les maltraitances perpétuelles et l’humiliation que mon époux Pierre-Louis me faisait subir. Je venais de le tromper et j’en étais très fière et prendre un tel plaisir sexuel que je ne connaissais plus depuis deux ans et demi, fut très important pour moi. La relation sexuelle, avec Fadoul, ce jeune et beau marocain m’avait émerveillée. Néanmoins, elle ne m’avait pas encore assouvie, elle avait fait naitre en moi un désir bien plus fort. Je n’avais pas l’intention de m’arrêter en si bon chemin, il suffisait que je sois très prudente, si je ne voulais pas me retrouver avec des bleus sur tout le corps.

Il était 19 heures lorsque Pierre-Louis quitta la réception, j’étais redescendue et me trouvais au milieu des invités que je ne connaissais pas. Fadoul était déjà avec son père et moi dans mes pensées érotiques, je savais que je devais le rejoindre dans sa chambre vers 23 heures mais en attendant, j’avais peur de m’ennuyer. A cet instant, j’entendis derrière moi une voix qui m’était familière, je m’étais retourné et face à moi, je vis Isabelle aux bras de Boris me disant :
— Regarde ce jeune homme, le fils de mon ancien fiancé, tu ne trouves pas qu’il est beau, il ressemble tant à son père.

Je ne répondis pas, ce jeune homme qui n’avait toutefois que deux ans de moins que moi, me contemplait une nouvelle fois de la tête aux pieds. Mon amie poursuivit sa conversation :
— Boris te trouve sublime dans ta jolie robe, il est charmant, ne trouves-tu pas ?
— Si ! Dis-je timidement mais nous devrions le laisser travailler, il y a tellement d’employés à surveiller.

Boris attrapa une coupe de champagne sur le plateau d’une serveuse passant à proximité et me la tendit, il en donna une à Isabelle et en pris une pour lui en levant sa flute. Nous trinquions ensemble, il nous dit :
— Buvons à votre beauté Madame de M…Je suis littéralement tombé sous votre charme.


— Monsieur ! Vous me flattez mais n’oubliez pas que je suis mariée. Il est donc inutile de perdre votre temps. N’est-ce pas Isabelle ?
— Boris ne recule devant rien, c’est le même charmeur que son père.
— J’aurais aimé rester avec vous mais le devoir m’appelle. Dit Boris en me prenant la main pour la baiser.

Isabelle m’emmena voir d’autres invités afin de me présenter à eux. Moi aussi, j’avais apprécié ce beau garçon, cela faisait tellement de bien de se sentir courtiser, je n’en avais plus l’habitude. Il avait tout ce qu’une femme recherche chez un homme, mais je ne voulais pas montrer à Isabelle que j’étais attirée par ce jeune garçon. Faisant l’innocente, je le suivais des yeux, il fit quelques remarques sur le service à quelques employées, et restait debout dans le hall entre la salle et les cuisines, prêt à intervenir en cas de besoin.

J’en profitai pour m’éclipser un instant me dirigeant vers les toilettes, j’étais obligée de passer devant lui pour y pénétrer. Il attendit que je ressorte pour m’accoster :
— Je m’aperçois que depuis que votre mari est parti, vous semblez vous ennuyer. Voulez-vous que je vous fasse visiter les cuisines et vous montrer le buffet que nous avons prévu pour cette fête ?

Je ne voulais pas rentrer dans son jeu de séduction, je cherchais un moyen détourné pour ne pas lui montrer que j’étais attiré par son physique, son audace et sa jeunesse. Je lui répondis :
— Non ! je ne m’ennuie pas mais je suis curieuse. Montrez-moi donc votre buffet, j’ai une faim de loup.

Il me précéda, reprit deux coupes au passage m’en tendant une, sans même me demander si j’en voulais une autre. Je lui pris des mains et sirota mon champagne, l’air était chaud malgré la climatisation ou aurais-je déjà des bouffées de chaleurs, dues à la boisson alcoolisée et à mon excitation. Boris me fit gouter quelques mignardises sucrées, elles étaient excellentes mais je ne voulais pas me goinfrer avant le repas.
Il me raccompagna, il osa mettre sa main sur ma hanche en me faisant passer devant lui, à la porte battante de la cuisine.

Je ressentis un frisson lorsque ses doigts se posèrent sur ma peau nue à cet endroit. Je ne dis rien et laissait le garçon faire, il n’enleva pas sa main mais l’appliqua un peu plus en me poussant légèrement vers un grand vestibule servant de réserve aux cuisines. Sans rien me demander, il me prit la main et m’attira à l’intérieur, comment pouvait-il se permettre une chose pareille, il était incroyable et je me laissais entrainer dans cette pièce où je savais très bien ce qu’il allait se passer. Dans ma tête tout alla très vite, je savais qu’Isabelle me croyait aux toilettes, je n’avais donc rien à craindre de ce côté-là.

Je me laissai attirer lorsqu’il me plaqua contre lui et m’embrassa en forçant le passage avec sa langue, à aucun moment, je montrais mon refus, ni la moindre réticence, je le pris par le cou et accepta volontiers son baiser. Il m’attira au fond de la pièce, où se trouvait une table, personne ne pouvait nous voir. Il me fit mettre assise, se mis à genoux devant moi et me caressa les cuisses en remontant ma robe de soirée. Son visage s’insinua entre mes cuisses, d’une main experte il écarta le mince tissu de ma petite culotte et sa langue se mit à me lécher, à me sucer. Ses doigts se mirent en action également, je mouillais déjà, Boris semblait être un expert, je n’avais pas à le guider, il savait y faire.

J’avais le torse en arrière, les bras reposant sur la table lui tendant ma petite poitrine presque sortie de son décolleté dans cette position. Sa main gauche vint entourer le galbe de mon sein et son index titiller le téton qui pointait d’excitation. Sa langue, son doigt me pénétrant et sa main sur mon sein, je me lâchai, mon corps se crispa dans un spasme et je jouis en silence en me mordillant les lèvres. Ma jute coulait sur son menton, il essayait de me boire mais ne parvint pas à tout avaler, j’avais vraiment bien expulsé toute ma jouissance.


Boris se releva, enleva son pantalon et s’en attendre, me pénétra, il était en érection depuis si longtemps qu’il n’en pouvait plus. Après quelques va et vient rapides, il éjacula dans son préservatif restant ainsi planté en moi un bon moment jusqu’à ce que sa verge ramollisse vraiment. Très vite, il se rhabilla et me laissa là, dans mes pensées, il ne voulait pas que nous soyons vu en sortant ensemble des cuisines.

20 h 15, j’étais restée une bonne dizaine de minutes assise sur cette table, je pensais à tout ce qui s’était passé depuis le début de la soirée. Je m’étais totalement transformée en femme infidèle, j’étais en plein dans l’adultère. Je comptabilisais déjà deux amants différents, en quelques heures : Fadoul et Boris. Que des plus jeunes de surcroit, serais-je devenue « Une Salope ? », je ne savais pas ce qui m’arrivait. Un bruit me fit sortir de ma torpeur et j’avais rejoint la table des proches du consul où j’y suis restée toute la soirée. Pendant tout le repas, j’avais discuté avec Farah la jeune fille marocaine qui m’avait expliqué sa vie dans son pays. Sa main se posait sur la mienne, me caressait le bras, elle était très tactile. Elle m’avait même caressé la cuisse au-dessus de ma robe, je n’avais pas osé l’enlever lorsqu’elle montait un peu plus haut, lorsqu’elle me fixa dans les yeux :
— Tu es magnifique Clémence, tu es belle et bien foutue. Me dit-elle.
— Toi aussi Farah, tu n’as rien à m’envier.

Tout en gardant sa main sur ma cuisse, elle me raconta que son père était un salaud, il avait toujours trompé sa première femme avec des prostituées blanches et que sa mère l’avait surpris avec Isabelle à cette époque. À partir de là, elle s’était enfouie avec eux, ses deux s et avait eu beaucoup de difficultés pour divorcer :
— Tu sais, si lui couche toujours avec des jeunes blanches, Isabelle n’est pas une sainte, elle baise aussi avec d’autres hommes.
— Comment peux-tu dire ça Farah, je connais bien Isabelle, elle ne trompe pas ton père.


Vers vingt-trois heures, Fadoul était monté se coucher en me regardant, il savait que je devais le rejoindre. Isabelle venait de s’absenter lorsque je m’excusai à mon tour auprès du consul. Farah me raccompagna me prenant par la main, elle me fit faire un petit détour par le parc en me disant :
— Mon père est cocu et il ne voit rien, c’est dégoutant.
— Si c’est vrai, je ne voudrais pas prendre sa défense mais c’est probablement une vengeance de sa part.
— Suis-moi, je vais te montrer.

En effet, on fond du parc, dans la peine ombre, Isabelle était face à un gros arbre les mains appuyées sur le tronc, sa robe relevée sur ses fesses, sa culotte baissée et derrière elle, la tenant par les hanches, s’activait Olivier, le père de Boris qui allait et venait bestialement en elle. Nous nous sommes éclipsées en douceur et avant de rejoindre le hall. Farah me fit une bise sur la bouche, je n’avais pas pris cela pour acte lesbien, cette petite était triste, elle se confia un peu plus :
— Ma mère n’était pas une salope, mon père la trompait mais Isabelle, Comment avait-il choisi son épouse ? Et toi Clémence, trompes-tu ton mari ?
— Bien sûr que non…Dis-je tout naturellement du tac au tac.

Si elle savait que je venais de baiser avec son frère et que j’allais renouveler cela dans dix minutes que penserait-elle ? La pauvre. J’étais montée dans ma chambre après lui avoir souhaitée bonne nuit, elle m’avait pris par la taille et me serra fort contre elle. Je pris une douche pour me rafraichir, j’avais encore très chaud et d’avoir aperçu Isabelle se faire sodomiser, m’avais beaucoup excitée. J’enfilai un string, une nuisette pratiquement transparente qui laissait voir mon corps pratiquement nu et j’attendais qu’il n’y ait plus de bruit dans le couloir.

23h30, Fadoul devais s’impatienter, j’enfilai mon peignoir et entrouvrit la porte. Je passai la tête dans l’entrebâillement et ne vit personne, c’était le moment, deux chambres nous séparaient, j’espérais qu’il n’ait pas verrouillé sa porte. Sur la pointe des pieds, je me mis à courir, j’étais comme une gamine, j’ouvris sa porte d’un seul coup et pénétrai dans sa chambre.

Il m’attendait debout devant son ordinateur portable posé sur la petite table au pied du lit. Il sursauta en me voyant faire irruption de la sorte. Son sourire en disait long lorsqu’il s’aperçut de ma présence. Ce n’était pas une blague, j’étais bien venu le rejoindre et pas pour faire de la dentelle. Il me prit dans ses bras puissants et me plaqua à lui pour m’embrasser à pleine bouche. Notre baiser m’avait semblé durer une éternité, il ne voulait pas décoller ses lèvres des miennes. Je sentais contre mon ventre la dureté de sa verge épaisse. Je me devais de le satisfaire rapidement avant de finir la nuit avec lui. J’avais pris du plaisir dans la soirée, mais je voulais encore du sexe, je voulais rattr toutes ses années perdues.

Je jetai mon peignoir sur le sol et m’étais accroupie devant lui en tirant vers le bas son boxer. Sa belle queue pointa en faisant quelques petits rebonds comme un élastique. D’une main, je lui caressais les testicules et le masturbais de l’autre, pendant que mes lèvres s’étaient refermées sur son gland circoncis. Fadoul était en plein bonheur, il n’avait pas encore été avalé par une bouche et quelle bouche, celle de Clémence était fabuleuse. Pensait-il. Il restait planté-là n’osant faire aucun geste. Il râlait de plaisir lorsque ma langue tournait et repassait tout autour de son gland :
— Clémence, je vais venir… C’est trop bon.

Je ne répondis pas et je continuais mes caresses buccales, j’avais trop envie de le boire et j’espérais qu’il jouisse dans ma bouche qu’il ne se retire pas avant. Je compris qu’il n’en était rien lorsqu’il me prit la tête et l’attira vers lui, il s’enfonça un peu plus entre mes lèvres, son gland était au plus profond. Il poussa un gros gémissement « Ah !!! Oh !!! », lorsque je ressentis son liquide couler inondant ma gorge. Je savourais ce précieux sperme qui m’avait tant manqué auparavant :
— Tu es géniale, tu es magnifique. Comment te remercier ?
— En me rendant la pareille mon petit chéri. Viens allons sur le lit.

Il n’hésita pas une minute, il me prit sous les aisselles, me releva, m’attrapa dans ses bras puissants et me porta pour m’allonger sur le lit. Délicatement, il enleva ma nuisette tout en me caressant le corps puis ôta mon string en le descendant centimètre par centimètre, c’était génial, je sentais ses doigts manucurés frôler ma peau, il faisait cela naturellement comme un vrai pro, il était tout simplement un grand sentimental et un vrai gentleman et ne le savait pas encore.

Je m’offrais à lui, j’étais allongée sur le dos, les bras au-dessus de la tête, j’appuyais sur mes pieds et jouais avec mes abdominaux, afin de relever mon bassin, je fermais les yeux. Lui était à mes pieds, sa tête penchée sur moi, sa bouche collée sur ma vulve aspirant mes grandes lèvres, ses mains étaient passée sous moi, il caressait mes fesses lentement sur toutes les surfaces accessibles. Sa langue tendue, essayait de pénétrer mon intimité, un de ses doigt que je supposais être son index me massait l’anus, c’était bon, il insistait mais n’osait pas l’enfoncer. De mon côté, je gesticulais en essayant tant bien que mal de me l’enfoncer moi-même mais je dus lui dire, car je n’y parvenais pas :
— Oui ! Fadoul enfonce-le ! bon dieu ! C’est trop bon.

Une demi-heure durant, il me caressa, me lécha, m’aspira, me suça la vulve et l’anus avec sa bouche pendant que ses doigts me caressaient et me pénétraient partout. Son autre main malaxait un sein puis l’autre, mes tétons se tendaient de désir lorsqu’il les prenait entre son pouce et son index. Lorsqu’il me pénétra l’anus de son pouce pendant qu’il m’aspirait le clitoris, je ne puis me retenir de crier sous l’orgasme foudroyant que je vivais. J’éjaculai une grande quantité de cette sécrétion des glandes para-urétrales.

Fadoul était heureux de m’avoir fait prendre du plaisir, il remonta et se mit à genoux entre ma poitrine, sa verge devant mes yeux, il avait repris des forces mais n’était pas encore en pleine érection, il attendait que je l’aide de mes seins. Ce que je fis, je serrais l’un contre l’autre mes deux seins pendant qu’il y coulissait entre eux, il ne lui avait fallu que quelques minutes pour bander comme un âne, il m’embrassa puis pris possession de mon vagin.

Ses allers et retours me procuraient une nouvelle montée de désir. Premier vrai rapport sexuel, première fellation pour Fadoul, je me devais de lui faire comme cadeau, sa première sodomie. Si avec Pierre-Louis, je ne prenais pas de plaisir, j’adorais ça, je voulais encore prendre un dernier orgasme avant de dormir. Je le fis se retirer, je m’étais retournée, mis à quatre pattes et lui dit de but en blanc :
— Sodomise-moi mon petit chéri.

J’avais eu un nouvel orgasme, Fadoul était fier d’éjaculer sur mes fesses, il me prit à bras le corps et me serra très fort en m’embrassant dans le cou. Cette joute sexuelle nous avait épuisés tous les deux, nous nous sommes écroulés sur le lit comme deux amoureux. Une heure du matin, je ne pouvais pas rester ici, je ne pris pas la peine de me laver, je m’étais revêtue uniquement de ma nuisette. Après l’avoir embrassé une dernière fois, je me précipitai dans ma chambre, mon string et mon peignoir dans la main. Je vous raconterai la suite Mardi prochain.

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.


Si comme Clémence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!